Une critique économique de l’Art Contemporain

En parfaite conformité avec ce monde de l’entreprise qu’il déteste, mais dont il adopte et maîtrise tous les codes, l’Art Contemporain fait de la destruction créatrice (idée développée par Schumpeter selon laquelle, en économie, ce qui est nouveau se construit nécessairement sur une forme quelconque de destruction) sa matrice idéologique.

De la nécessité du relativisme en Art Contemporain

De cette rupture que l’Art Contemporain prétend incarner, il n’en demeure pas moins qu’à l’instar du classicisme, il se veut porteur d’une vérité ; une vérité qui lui est singulière et subjective dont l’idée conceptuelle est l’incarnation, au détriment de l’esthétique de l’œuvre.

De l’art antique à l’Art Contemporain… une longue histoire !

De cette rupture que l’art contemporain prétend incarner, il n’en demeure pas moins qu’à l’instar du classicisme, il se veut porteur d’une vérité ; une vérité qui lui est singulière et subjective dont l’idée conceptuelle est l’incarnation, au détriment de l’esthétique de l’œuvre.