Ce sont les « concernées » qui n’ont pas droit à la parole et qui subissent par la même occasion une double peine : l’anathème s’agissant d’une activité professionnelle de « dépravée » ou « d’esclave sexuelle » qu’elles auront pratiquée, et la perte de celle-ci au nom d’un prêt-à-penser qui les aura vu privées de parole.
Mois : juillet 2019
De Rugy, le blancos
Les quelques milliers d’euros en cause dans l’histoire de Rugy, si tant est que leur usage fût litigieux, ne sont que bien peu de choses au regard de la gabegie généralisée de notre Leviathan administratif si cher et chéri.
Gilets noirs pour nuit blanche
Notre manque chronique de fermeté n’a fait que dévoyer la nationalité française, laquelle ne figure plus un attachement à une nation et à une culture qui requiert le sens du devoir et le dépouillement d’une partie de soi, mais un simple droit tenu pour acquis.
La morale précède le droit
En théorie, les mêmes qui expliquent que le mariage pour tous ou encore le port du voile sont des pratiques qui ne doivent être discutées que relativement à la loi, devraient donc accepter sans sourciller que ce couple de chasseurs aille tuer des léopards ou des rhinocéros…
Le syndrome de Rokhaya Diallo
Mais il est autre chose, plus perfide encore, que Twitter ou Facebook révèlent à merveille : la tendance croissante à refuser l’universalisme du débat d’idées au profit d’une forme d’indigénisme de la pensée. C’est ce que j’appelle : « le syndrome de Rokhaya Diallo ». Qu’est-ce que ce syndrome ? L’idée pathologique que tout enjeu politique ou sociétal ne peut faire l’objet de discussion par qui n’en serait pas directement touché.
Pont de Sully : « OPERATION COLLYRE »
Là, tu pourrais te dire ok, t’en fais trop. C’est pas pour un peu d’airwick dans les nasaux qu’on va déclencher une polémique ? Bah si. Enquête de l’IGPN, commisération du Premier Ministre et bientôt, séance d’automutilation dans tous les commissariats de France et de Navarre.