2019 : Mort du second degré

La lecture totalement binaire et littérale de Caroline de Haas des propos de Finkielkraut est parfaitement représentative d’une époque incapable de tout discernement comme de la moindre légèreté. Ces propos, peut-être maladroits, tiennent de la plus simple tradition littéraire française qui est celle du procédé de style : ici, l’ironie.

La manif de la honte ?

Cette manifestation lancée par de vaillants soldats du salafisme, n’étaient ni plus moins qu’un appel prononcé au communautarisme autant qu’une manifestation d’ardents identitaires musulmans. Les identitaires, ce terme qui répugne tant la gauche radicale de ce pays, laquelle n’a pourtant pas hésité à battre le pavé pour eux, piétinant au passage les victimes innombrables de cette idéologie toujours plus militante et revendicatrice. Le meilleur n’est pas à venir…