Ce sont les « concernées » qui n’ont pas droit à la parole et qui subissent par la même occasion une double peine : l’anathème s’agissant d’une activité professionnelle de « dépravée » ou « d’esclave sexuelle » qu’elles auront pratiquée, et la perte de celle-ci au nom d’un prêt-à-penser qui les aura vu privées de parole.