2019 : Mort du second degré

La lecture totalement binaire et littérale de Caroline de Haas des propos de Finkielkraut est parfaitement représentative d’une époque incapable de tout discernement comme de la moindre légèreté. Ces propos, peut-être maladroits, tiennent de la plus simple tradition littéraire française qui est celle du procédé de style : ici, l’ironie.